Menu
Fiche identitaire
Alimentation
Accouplement
Maladies
Comportement
Ma Calopsitte
 
 

PUblicite

 
 

Partenaires

Stoker vos images gratuitement 

 

Compteur

 
  Maladies
 
 
 

Maladies

Bien qu’elle soit robuste, la calopsitte peut tout de même tomber malade. Elle est plus fragile en période de mue, ou l’hiver. Il est impossible de recenser toutes les maladies mais nous pouvons vous présenter les principales pathologies principalement rencontrées chez  les calopsittes. Dans chaque cas, il est conseillé d’isoler vos oiseaux d’autres compagnons et de leur fournir une alimentation équilibrée et une hygiène parfaite. En cas de maladie il est nécessaire d’agir au plus vite de votre côté et de ne pas hésiter à consulter un vétérinaire.

Allergie alvéolaire : ( pathologie protozoaire )
      L’oiseau développe une hypersensibilité aux plumes et à ses excréments ( ou autres excréments aviaires ). Cette sensibilité entraine l’inflammation des alvéoles ce qui réduit la capacité pulmonaire de l’oiseau. La maladie peut cesser si l’oiseau n’est plus exposé. En revanche si l’allergie est plus poussée on peut croire que l’animal est « simplement » atteint d’une grippe mais les lésions alvéolaires sont plus importantes et peuvent devenir permanentes. 
      L’allergie se manifeste par une respiration difficile, de la fièvre, une perte de poids et de nombreuses toux. On ne peut pas faire disparaître une allergie, on ne peut que l’amoindrir en prêtant attention à ne pas exposer l’oiseau aux origines de sa maladie comme l’écarter d’autres oiseaux et garder sa cage extrêmement propre.

Candidose : (pathologie fongique )
      Le champignon à l’origine de la maladie est une levure nommée candida. Les jeunes calopsittes sont les plus touchées. La maladie est localisée au niveau du tube digestif et de la bouche. La maladie se développe principalement par un manque de vitamine.
      La maladie se manifeste par un plumage sal et des plaques blanches dans la bouche. L’oiseau perd alors l’appétit ce qui entraine une perte de poids conséquente. Il s’en suit des vomissements et des diarrhées. Son chant est moins beau et moins fréquent. Le traitement se fait par médicament oral. Il est nécessaire que l’oiseau ait une alimentation saine et une hygiène environnementale irréprochable.

Coccidiose : ( pathologie parasitaire )
      L’élément pathogène coccidie se niche dans le tube digestif des oiseaux, en général les plus jeunes car plus inoffensifs, et en dégrade les tissus. Le nombre de cet élément déterminera la gravité de la maladie, plus celui-ci est important plus les lésions causées seront graves et tendront à être fatales.
      On peut détecter la maladie chez l’oiseau par des diarrhées et par un amaigrissement. L’oiseau restera dans le fond de sa cage, recroquevillé. Le traitement passe par un assainissement rigoureux de l’environnement de l’oiseau en plus d’un traitement par médicament. Par prévention, il existe un vaccin efficace à faire éventuellement chez les plus jeunes.

Colibacillose : ( pathologie bactérienne )
      Comme le type de pathologie l’indique, cette maladie est causée par une bactérie. La zone touchée est aussi le tube digestif. 
      On repère la maladie par des diarrhées, de la fièvre voir des maladies respiratoires. Pour éviter l’infection, il est nécessaire de veiller à ce que la nourriture ne soit pas en contact avec les fientes. Le traitement se fait par antibiotique afin de traiter les symptômes et ce toujours dans un environnement irréprochable.

Cryptosporidiose : ( pathologie parasitaire )
      Infection causée par un parasite présent dans des aliments contaminés ou dans les fientes contaminées. Le développement du parasite chez une personne aux faibles défenses immunitaires peut devenir dangereuse voir fatale.
      La maladie se manifeste par des diarrhées et donc des pertes de poids, une déshydratation et une faiblesse générale de l’oiseau. Si cette maladie est suspectée il est nécessaire d’en aviser le vétérinaire qui vous conseillera au mieux car la maladie n’a pas de traitement connu.

Gale : ( pathologie parasitaire )
      Un petit acarien est responsable de cette célèbre maladie. En touchant le bec de l’oiseau, la gale peut l’empêcher de se nourrir convenablement, entrainant des conséquences fatales.  
      La gale se repère par des croûtes autour des yeux des pattes et du bec. L’oiseau perd ses petites plumes d’ailes et de queue à la différence de la mue plus fréquente et concernant tout le corps de l’animal. Lorsque la gale touche le bec, l’application d’une pommade s’impose. De même lorsque la galle déplume l’oiseau.  

Gardia : ( pathologie parasitaire )
      Le parasite infecte la zone gastro-intestinale. Il produit des kystes présents dans l’eau et dans les fientes. Ce parasite aura tendance à se développer dans une cage contaminée non désinfectée.
      Avec cette maladie, l’oiseau peut développer une diarrhée et par conséquent il perd du poids. Il garde son plumage sal et gonflé, se gratte et s’arrache quelques plumes. Le traitement adéquat est efficace mais difficile pour l’oiseau. Malgré cette efficacité il se peut que l’oiseau rechute rapidement après l’arrêt du traitement.

Histoplasmose : ( pathologie fongique )
      Un champignon infecte les poumons de l’oiseau mais peut toucher d’autres organes. Les fientes permettent le développement de ce champignon qui vient facilement se loger dans les plumes de l’oiseau. Les spores du champignon arrivent alors dans  les voies respiratoires. La maladie est encore plus dangereuse pour l’homme.
      La sévérité de la maladie dépend du nombre de spores absorbés. Dans les cas les plus bénins, l’oiseau ne présentera même pas de symptôme de la maladie. En revanche dans les cas les plus graves, la maladie peut s’avérer fatale. Elle touche généralement les poumons, et occasionne toux et douleur de poitrine, fièvre et affaiblissement général. Elle peut aussi toucher d’autres organes, l’oiseau présente alors une toux, de la fièvre, des problèmes de foie et de rate. Lorsque la maladie dure d’avantage, l’oiseau peut être victime de fièvre, d’anémie, de pneumonie, de méningite, d’hépatite, des ulcères et des inflammations au cœur. Le cas le plus grave se manifeste par un cancer. Si un traitement est préconisé, il traitera uniquement les symptômes de la maladie. Lorsque ces derniers sont d’une gravité plus poussée, il est nécessaire de détruire le champignon. Une cage saine et un maximum à l’abri de poussière est nécessaire pour éviter ces désagréments.             

PBFD : ( pathologie virale )
      Le virus touche l’immunologie de l’oiseau et la maladie attaque le bec et les plumes.
      La maladie cause un plumage constamment sal, et laisse apparaître des traces de sang. Le bec peut se déformer, par conséquent, dans les cas les plus graves, l’oiseau peut ne plus pouvoir se nourrir. La maladie peut être éviter grâce à un vaccin en deux injections.

Psitaccose : ( pathologie bactérienne )
      Cette maladie est connue sous le nom de « fièvre du perroquet ». La bactérie peut se trouver dans les fientes ou les sécrétions au niveau des yeux et des voies respiratoires.
      L’oiseau peut avoir les yeux rouges et irrités et devenir anorexique entrainant des pertes de poids. Le plumage peut perdre sa beauté et dormir constamment. La maladie se manifeste par des éternuements et des difficultés respiratoires. L’oiseau peut également devenir apathique. Le traitement est présenté sous forme d’antibiotiques oraux ou par injection.

Polyomavirus : ( pathologie virale )
      C’est le virus APV qui peut toucher toutes les calopsittes mais qui peut être fatal pour les oisillons.
      Le plumage devient minable, la peau se décolore et l’on peut observer des tremblements au niveau de l’abdomen. Un vaccin est en cours d’élaboration, sans ça, aucun traitement n’est connu.

Salmonellose : ( pathologie bactérienne )
      La bactérie peut se retrouver dans l’eau, dans les aliments contaminés ou par des insectes porteurs et transmetteurs potentiels de la bactérie.
      Les symptômes se présentent par des tremblements, des vomissements, des diarrhées, de la fièvre, une déshydratation, une infection des organes comme le cœur, les méninges ou la rate qui par conséquent entrainent une faiblesse générale de l’oiseau. Le traitement passe avant tout par le soin de ces symptômes par antibiotiques.

Tuberculose aviaire : ( pathologie bactérienne )
      La bactérie se retrouve dans les fientes, aliments et eaux contaminés. La maladie peut également toucher l’homme.

      La pathologie s’exprime par une perte de poids malgré un bon appétit, par une dépression, des diarrhées et des difficultés respiratoires. Bien qu’il existe un traitement, l’oiseau en restera affaibli et de ce fait trop fragile pour repousser l’heure de sa mort. La maladie étant contagieuse, le traitement n’est cependant pas toujours souhaitable.

 

 

 
 
Mania-Upload |Gticitroen | Link | Link | Link
Freelance Web Designer